18/02/2014
20/01/2014
Merci #Simone !
Oui à la liberté d’avorter !
Merci à celles qui se sont battues pour nous !
Battons-nous encore … puisqu'il le faut !
01/01/2014
16/12/2013
Lire et écouter / Les manuscrits de #Tombouctou
1/ Un émission à podcaster sur le site de France Culture
Cultures d'islam par Abdelwahab Meddeb : "Les manuscrits de Tombouctou (XIIIe/XVIIe siècle)" Emission du 29.11.2013
2/ Un bel ouvrage
3/ Une conférence le 21/01/2013
à la librairie L’Harmattan – IREMMO, 5 rue Basse des Carmes 75005 Paris.
RDV à 19 h : Les manuscrits de Tombouctou, secrets, mythes et réalités, Jean Michel Djian
Conf organisée par La Rahla - Amicale des Sahariens.
Cultures d'islam par Abdelwahab Meddeb : "Les manuscrits de Tombouctou (XIIIe/XVIIe siècle)" Emission du 29.11.2013
Centre spirituel situé au fin fond du désert, Tombouctou a suscité une quête pour sauver du péril ses historiques bibliothèques familiales comptant 300.000 manuscrits datant du XIIIe au XVIIe siècle.
L’année dernière ces collections ont été l’otage d’une guerre conduite notamment par les terroristes d’AQMI. Face au péril menaçant ce patrimoine, des volontaires dirigés par Abdelkader Haidara et Stéphanie Diakité ont organisé le transport clandestin d’une partie de ces trésors de Tombouctou à Bamako.
Après avoir été mis à l’abri des dangers de la guerre et du pillage, ces manuscrits subissent d’autres menaces provoquées par l’humidité et l’exiguïté des lieux où ils sont conservés. Un appel est lancé pour mobiliser moyens humains et financiers afin de mener à bien l’opération de collecte et de conservation de ce fonds si précieux pour l’Afrique subsaharienne car il témoigne que cette entité a non seulement participé à la grande culture savante de langue arabe mais que la dimension vernaculaire a eu sa part de consignation. Ce qui donne à l’Afrique une mémoire qui l’amène à s’inscrire aussi dans la civilisation de l’écrit.
Désormais, l’on sait avec ce corpus que l’Afrique ne procède pas de la seule oralité.
Voici ce que déclare M. Diakité : « Nous avons compris le pouvoir de ces bibliothèques quand des personnes de tous horizons, de tous milieux sociaux et parlant toutes les langues du Mali, et quand des villages entiers de la région s’engagèrent corps et âme et prirent souvent des risques considérables pour nous aider à évacuer les manuscrits au Sud du Mali ».
+
2/ Un bel ouvrage
Jean-Michel Djian
Avec la collaboration de Georges Bohas, Cheikh Hamidou Kane, Doulaye Konaté, Mahmoud Abdou Zouber.
Belles photographies de Seydou Camara.
Edition : Lattès
+
3/ Une conférence le 21/01/2013
à la librairie L’Harmattan – IREMMO, 5 rue Basse des Carmes 75005 Paris.
RDV à 19 h : Les manuscrits de Tombouctou, secrets, mythes et réalités, Jean Michel Djian
Conf organisée par La Rahla - Amicale des Sahariens.
06/12/2013
05/12/2013
TRIBUTE TO KOUDEDE
RDV le dimanche 8 décembre 2013 au Petit Bain , les amis musiciens de Koudédé avec qui il a partagé la scène au Niger, mais aussi en Europe se retrouve à Petit Bain pour lui rendre hommage. On y retrouvera les touaregs Bombino, Atri’n Assouf, Kel Assouf et Nabil Baly mais aussi le duo franco Australien Montain Men, les français de Yapa tout ça agrémenté par les sons collecté partout dans le monde d’Hisham Mayet de Sublime Frequencies.
- BOMBINO (rock Touareg – Niger)
- MOUNTAIN MEN (Blues – France/Australie)
- ATRI’N ASSOUF (Musique touareg – Niger/France)
- NABIL BALY (Musique touarègue – Algérie)
- KEL ASSOUF (Musique touarèque – Niger)
- YAPA (World jazz – France)
- HISHAM MAYET DJ SET : (Dj Set Sublime Frequencies - US)
20h / 15€ (12€ en prévente*, TR, habitants du 13eme
*hors frais de location
23/11/2013
La paix en Afrique ne doit pas se décider à l’Élysée avec des dictateurs!
Appel à Rassemblement Jeudi 5 décembre à 18h,
Place de la République à Paris
Sommet France-Afrique
La paix en Afrique ne doit pas se décider à l’Élysée avec des dictateurs!
A l'initiative de François Hollande, un Sommet de l’Élysée sur la paix et la sécurité en Afrique auralieu à Paris les 6-7 décembre. Il s'agit du premier Sommet France-Afrique organisé sous François Hollande, qui a convoqué lui même ce sommet, choisi son thème et décidé de l’organiser à Paris, dans un lieu aussi symbolique que l’Elysée. Comme ses prédécesseurs, le Président français parait ainsi considérer le continent africain comme une zone qui ne doit pas échapper à l’influence de la France.
Dans la tradition des Sommets France-Afrique, la plupart des dictateurs africains du « pré-carré » francophone seront présents. Parmi eux, le tchadien Idriss Déby, au pouvoir depuis 1990, Paul Biya (Cameroun, depuis 1982), Denis Sassou Nguesso (Congo-B, depuis 1979), Blaise Compaoré (Burkina Faso, depuis 1987), sans oublier les héritiers Ali et Faure des régimes Bongo et Gnassingbé au Gabon et au Togo et le président djiboutien Oumar Guelleh. Tous bénéficient du soutien diplomatique, économique (via l’aide publique) et militaire ou policier de la France. Quasiment tous ont été reçus au moins une fois à l’Elysée depuis l’élection de François Hollande. Tous soutiennent la France dans ses nombreuses interventions militaires menées sur le continent africain, où elle dispose toujours de bases militaires et de forces pré-positionnées. En échange de leur soutien à ces interventions, comme celle menée récemment au Mali, ces dictateurs attendent le silence de la France sur leurs exactions. Les démocrates tchadiens, togolais et djiboutiens ont ainsi subi dans leur chair en 2013 les conséquences diplomatiques du soutien de leurs chefs d’État à l’opération Serval[1].
Les dictateurs de la Françafrique sont auteurs de nombreuses violations des droits de l’Hommedocumentés par un grand nombre de rapports émanant d’ONG et organisations internationales. Le soutien de la France à des dictateurs, les ventes d’armes et les nombreuses interventions militaires menées par la France sur le continent africain pour les soutenir (comme au Tchad en 2006 puis 2008) n’ont en rien amélioré la sécurité et les conditions de vie de leurs populations. La situation actuelle en Centrafrique, où la France a installé et/soutenu tous les dictateurs qui se sont succédés, est une des illustrations des conséquences de cette funeste politique. Et lorsque la France prétend intervenir au nom des droits de l’Homme et dans un cadre multilatéral, comme elle l’a fait en Côte d’Ivoire, en Libye ou au Mali, c’est toujours avec des motivations ambiguës, liées à ses intérêts géostratégiques.
Considérant qu’un sommet sur la paix et la sécurité en Afrique ne doit pas se tenir à l’initiative et sur le sol d’une ex-puissance coloniale caractérisée par son ingérence sur le continent et en présence de dictateurs qui y ruinent tout espoir de paix, nous, associations et citoyen-ne-s français-e-s et africain-e-s réclamons :
- L’annulation de ce sommet
- La fin du soutien diplomatique, économique, militaire, policier et des ventes d’armes aux régimes répressifs
- La suppression des bases militaires françaises en Afrique
Depuis une vingtaine d’années, des représentants de la société civile française et africaine ont pris l’habitude de réagir et d’organiser en contre-point des sommets France-Afrique des tempsd’échange, de revendication et de mobilisation. Nos organisations proposent aux citoyens et aux organisations de se rassembler le Jeudi 5 décembre prochain, Place de la République, sous le mot d’ordre ci-dessus.
Premiers signataires : Survie, Afriques en lutte, La Fédération des Congolais de la Diaspora (FCD), Sortir du Colonialisme, L’Union des Populations du Cameroun…
[1] Voir : FIDH, Djibouti : arrestations et procès se poursuivent en silence, communiqué de presse, juillet 2013
Amnesty International. Togo : Usage excessif de la force et décès en détention, Communiqué de presse, mai 2013
FIDH, Tchad : vague de répression sur fond de tensions militaires. Communiqué de presse, juin 2013
04/11/2013
20/10/2013
Ecoutez ou réécoutez "Guitares #Touareg au #Niger"
Par Laurence Aloir - Reportage à Niamey, Niger, lors du festival Le Chant des Dunes.
Avec Bombino, Abdallah de Tinariwen, Afel Bocoum, Hasso Akotey, Mawli et Ahmed Dayak. Arnaud Contreras.
Soutenez "L'amour en cage" - Un film-documentaire sur l'#excision au #BurkinaFaso et en #France
Un film de Phillippe Baqué, Dani Kouyaté
Bien qu’interdite dans beaucoup de pays, la pratique de l’excision continue. En Afrique, 120 millions de femmes l’auraient subie. Pour elles, le traumatisme physique et psychologique est difficilement réparable. Certaines ont accepté de confier leur douleur, mais aussi leurs espoirs grâce à une technique chirurgicale de restauration du clitoris qui a été mise au point en France et qui commence à être pratiquée en Afrique. Des histoires de femmes sur les blessures d’hier et sur une nouvelle maîtrise de leur corps demain.
QUI SOMMES-NOUS ?
Dani Kouyaté est burkinabé. Il est réalisateur de films long métrage de fiction (« Keïta, l’héritage du griot »; « Sia, le rêve du python »; « Ouaga saga »), réalisateur de films documentaires (« Joseph Ki-Zerbo, Identités/Identité pour l’Afrique »; « Souvenirs encombrants d’une femme de ménage ») et metteur en scène.
Philippe Baqué est français. Il est réalisateur de films documentaires (« Melilla, l’Europe au pied du mur »; « L’Eldorado de plastique »; « Le Beurre et l’argent du beurre »), écrivain (« Un nouvel or noir ou le pillage des objets d’art en Afrique »; « La bio entre business et projet de société ») et journaliste indépendant.
Pour achever ce film dans les meilleures conditions, nous avons aujourd’hui besoin de 4000 euros, afin de financer deux semaines de montage supplémentaires au-delà des 3 semaines financées par la production. Nous avons fixé un premier objectif de 2500€ pour une semaine de montage mais nous savons déjà que cette cinquième semaine sera primordiale. Ce temps de montage nous permettra de faire un véritable travail de création avec la monteuse, afin de réaliser un film sensible qui concernera tous les publics pour des prises de conscience indispensables au bien être de la femme.
C'est pourquoi
18/10/2013
Communiqué de presse AGHIRIN'MAN 16 octobre 2013 (#Uranium #Areva #Niger)
AGHIRIN'MAN et la Coordination des Organisations de la Société Civile d’Arlit ont organisé une marche de protestation à ARLIT (Niger), le 12 octobre 2013 pour soutenir le gouvernement nigérien dans les négociations occasionnées par le renouvellement des contrats entre le Niger et le groupe AREVA, pour que cette fois ci leurs résultats soient à la hauteur des attentes des populations nigériennes.
Dans une déclaration faite à la fin de cette marche pacifique à laquelle des milliers de personnes ont participé, nous avons déploré les conséquences environnementales et sociales de l’exploitation de l’uranium à Arlit.
AREVA a réagi par un communiqué en date du 14 octobre 2013. Ce texte ne prend pas en compte la réalité :
1 / AREVA évoque le chiffre de 200 manifestants pour être fidèle à sa politique de négation et mépris des populations. Les collaborateurs d’AREVA ont sans doute peur de perdre leur siège pour n’avoir pas tout fait pour empêcher la manifestation ou rompu le pacte d’allégeance. Nous confirmons les cinq mille manifestants et nous demandons à AREVA de nous dire combien il faut selon ses standards à la prochaine manifestation pour avoir une âme et entendre des populations qu’elle a spolié, pollué, irradié pendant un demi-siècle.
2 / AREVA évoque « un contrôle rigoureux » de l'environnement. Il n'en est rien. Avec notre partenaire scientifique, la CRIIRAD, nous avons réalisé depuis 2003 des contrôles indépendants de la radioactivité à ARLIT et démontré l'ampleur des contaminations radioactives. Il s'agit par exemple de la présence de ferrailles radioactives sur les marchés dont mille six cent tonnes en 2012 venant des usines de SOMAIR et COMINAK (filiales d'AREVA) ; mais aussi de matériaux radioactifs issus de la mine réutilisés pour le remblaiement des routes et parfois même la construction d'habitations (voir le rapport d'activité AGHIRIN'MAN de 2011).
Cela a été confirmé par Greenpeace lors sa visite à notre demande en 2009 sanctionné par le rapport intitulé « Abandonnés dans la poussière : l’héritage radioactif d’AREVA dans les villes du désert nigérien ». Les 50 millions de tonnes de résidus de traitement radioactifs (80 pour cent de la radioactivité contenue dans le minerai) déposés à Arlit pour toujours ne seront démentis par aucun communiqué de presse. D’ailleurs, le goudronnage de 12 km de pistes et rues prévu à Akokan pour réduire la poussière est reporté pour ne pas dire annulé.
3 / Les contrôles de radioactivité effectués en août 2010 dans les rues d'ARLIT, ont permis de découvrir des remblais radioactifs devant les hôpitaux de la SOMAÏR et de la COMINAK (fait que nous avions pourtant dénoncé en 2007 avec la CRIIRAD), ainsi que l'habitation d'une famille, tellement radioactive qu'elle a dû être rasée. Selon les évaluations de SOMAÏR, la dose subie par les habitants était de plus de 10 milliSieverts par an, et selon la CRIIRAD, la
prise en compte de l'exposition au radon entraîne une dose totale encore plus élevée.
Pourtant, dans son communiqué du 14 octobre 2013, AREVA prétend respecter au Niger « les standards internationaux les plus stricts en termes de radioprotection (moins de 1 mSv de dose ajoutée pour les populations locales, comme en France ».
4 / Nous avions exigé en 2010 qu'AREVA lance une campagne de vérification de la radioactivité dans les autres habitations à ARLIT. Trois ans après, malgré les engagements d’AREVA, ce n'est toujours pas fait parce que le Directeur des exploitations de COMINAK bloque. Pourtant il s'agit d'un véritable problème de santé publique.
5 / L’observatoire de santé mis en place par AREVA dédommage des familles de français morts à cause de la radioactivité des mines nigériennes. Dans le même temps, nous n'avons toujours pas de réponse à la question : de quoi sont morts la première dizaine de nigériens dont nous avons déposé les dossiers à AREVA ? Cet observatoire de santé, sur lequel la CRIIRAD avait mis en garde en 2009, est aussi dénoncé désormais par l’association française SHERPA à cause des blocages d’AREVA.
6 / AREVA évoque “un dialogue constant avec l'ensemble des parties prenantes locales". AGHIRIN'MAN constate pourtant que rien que le 9 octobre 2013 (trois jours avant notre manifestation du 12 octobre 2013), AREVA a organisé clandestinement une CLI (Commission Locale d’Information) à Imouraren (une des plus grandes mines du monde) avec des participants choisis selon leur allégeance à AREVA et quelques éleveurs embarqués
innocemment. Le 23 avril 2013, la même CLI s’était tenue à Arlit dans les mêmes conditions et nous avions été exclus parce que nous avions demandé la participation du sultan de l’AÏR et d’autres chefs coutumiers de la région. Alors, de quel dialogue s’agit-il pendant qu’il n’y a aucune autre tribune que celle de CLI au rabais pour s’adresser à AREVA ?
7 / Quant aux « 70 pour cent des revenus » de l’exploitation de ses mines d’uranium « reversés à l’Etat nigérien », c’est une argumentation sans crédibilité ni sérieux au regard de la réalité du terrain : l'état déplorable de la route Tahoua-Arlit ; la population d’Arlit qui manque d’eau à boire (à titre d’exemple, ce quartier Madina d’Akokan dont l’alimentation en eau à été suspendue par le Directeur des exploitations de COMINAK) ; les rebellions à
répétitions et les fondamentalistes qui s’y mêlent pour exprimer et agir en évoquant les préoccupations des populations.
8 / Enfin nous sommes disposés à participer et proposons un débat contradictoire radio télévisé avec les responsables d’AREVA.
Le Président
Almoustapha Alhacen
Almoustapha Alhacen
04/09/2013
31/08/2013
#Tamasheq.net : le site des musiques touareg !
Pour toutes les infos sur la musiques Touareg rdv sur l'excellent site TAMASHEQ.NET !
Très régulièrement mis à jour ce site permet de suivre toute l'actualité des pontes de la musique saharienne, comme Tinariwen & cie, mais aussi, et c'est tout l'intérêt du site, de découvrir de nouveaux sons , de nouveaux musiciens, ceux qui font la musique saharienne d'aujourd'hui et de demain !
On y apprend par exemple que Mdou Moctar, nouvelle star nigérienne de la guitare, sort enfin un album !
Ecoutez "Radio Déserts" sur #FranceCulture dans Continent Musiques ! #Youpi !
La première émission " Le Sahel par la bande " est consacrée à la musique sahelo-saharienne ! Avec Bambino, Tinariwen, Mdou Moctar, Amanar & Cie !
On s'y demande comment les cassettes puis les téléphones portables ont façonné un nouveau son du Niger, au Mali, en passant par la Mauritanie, l'Algérie ou la Libye entre rébellion, guitares électriques et samplers…
Une belle émission ! Qui illustre bien la réalité de la musique saharienne d'aujourd'hui !
Un seul petit regret, l'absence totale d'Abdallah Oumbadougou ... dont la musique apporte pourtant beaucoup à la compréhension de la musique actuelle au Nord-Niger.
Avec entre autres Aziza Brahim et Tartit !
+
Toujours sur France Culture : City Song : Haïti ;-)
Haïti, les grandes formations du pays distillent des sentiments pluriels au gré de leurs chansons qui flirtent élégamment avec un répertoire américain, français et cubain. Boléros, compas et cadence ont alors la part belle dans le Port au Prince de la fin des années 1960 et du début des années 1970.
Inscription à :
Articles (Atom)