Extrait :
« Dans le Sahara, il n'y a rien à islamiser. Dans le Sahara, il n'y a que du fric à se faire »
Ahmed Akoli.
Les anciens du Mouvement des Nigériens pour la Justice, principal mouvement rebelle touareg du Niger, apparu débur 2007, et responsable d'un enlèvement bref de quatre employés d'Areva l'année suivante, veulent se dissocier des ravisseurs.
Ahmed Akoli, ancien responsable du MNJ met en garde contre l'amalgame, meme s'il assure "ne rien savoir" de l'identité des ravisseurs. "il y a environ 7000 personnes capables de porter une arme dans cette région" estime l'ex-rebelle qui vit en exil. "Et seulement une poignée d'AQMI. "Mais dans le Sahara, il n'y a rien à Islamiser. Dans le Sahara, il n'y a que du fric à se faire". Le désert a toujours été une zone d'échanges ou de trafics. Y transitent à présent les tonnes de cocaïne sud--américaine débarquées sur les côtes d'Afrique de l'Ouest, à destination de l'Europe. Les routes du trafic suivent celles des anciennes caravanes, mais les conditions ont changé. Des réseaux veillent à la logistique, donnent des rdv par GPS pour livrer des fûts d'essence pour le plein des voitures des trafiquants. Même les armes se louent. Les sommes en jeu se comptent en "dizaines de milliers de dollars" selon l'ex-combattant du MNJ.
Ahmed Akoli.
Les anciens du Mouvement des Nigériens pour la Justice, principal mouvement rebelle touareg du Niger, apparu débur 2007, et responsable d'un enlèvement bref de quatre employés d'Areva l'année suivante, veulent se dissocier des ravisseurs.
Ahmed Akoli, ancien responsable du MNJ met en garde contre l'amalgame, meme s'il assure "ne rien savoir" de l'identité des ravisseurs. "il y a environ 7000 personnes capables de porter une arme dans cette région" estime l'ex-rebelle qui vit en exil. "Et seulement une poignée d'AQMI. "Mais dans le Sahara, il n'y a rien à Islamiser. Dans le Sahara, il n'y a que du fric à se faire". Le désert a toujours été une zone d'échanges ou de trafics. Y transitent à présent les tonnes de cocaïne sud--américaine débarquées sur les côtes d'Afrique de l'Ouest, à destination de l'Europe. Les routes du trafic suivent celles des anciennes caravanes, mais les conditions ont changé. Des réseaux veillent à la logistique, donnent des rdv par GPS pour livrer des fûts d'essence pour le plein des voitures des trafiquants. Même les armes se louent. Les sommes en jeu se comptent en "dizaines de milliers de dollars" selon l'ex-combattant du MNJ.
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